J'avais un ami, en 2001, qui m'a aidée à passer un cap difficile. On s'entendait bien, surtout à cause de sa poésie. Puis un jour, il a changé de portable, de goût ou d'amie.
Je ne pouvais plus le joindre mais, assidue, j'ai continué de l'appeler.
Ne comprenant pas son silence, j'ai insisté. Pendant quatre mois. Sans m'en rendre compte, au fil de tous ces messages qui s'enregistraient sur un répondeur (jusqu'à vingt par jour !), je me livrais toute entière (en tout bien tout honneur, naturellement).
En visite chez ma copine Virginie, j'appelle une fois de plus. E là, enfin, une voix me répond :
- Madame, vous ne parlez pas à qui vous pensez. Depuis quelque temps j'ai un abonnement chez Orange et apparement, on m'a attribué l'ancien numéro de votre ami. Il y a un bon moment que je reçois vos messages, et je ne savais pas comment vous joindre.
"Le hasard, c'est Dieu qui se promène incognito".
RépondreSupprimerAlbert Einstein
c'est une très belle histoire qui n'arrive pas tous les jours.
RépondreSupprimerau téléphone quand on ne connaît pas c'est souvent une litanie de jurons qu'on entend.
ça pourrait être le début d'une histoire d'amour.
vous êtes vous rentrés?
je voulais dire rencontrés
RépondreSupprimerUne sacrée histoire!
RépondreSupprimermorte de rire du com' de Bataillou!
RépondreSupprimerquel beau lapsus.
j'espère que vous vous êtes bien rencontrés.
C'est une belle histoire.
bisous.
polly
morte de rire pour le com' de Bataillou.
RépondreSupprimerJ'espère que vous vous êtes rencontrés. C'est une belle histoire.
Bisous.
polly